Le vent souffle, et tourne, tourne la roue de la fortune. Favorisés un jour, écrasés le lendemain...
Gonflez vos voiles et voguez vers l'avenir.


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 Celiwyr, capitaine du Troène

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Celiwyr Lelird
Embrasse-moi...
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Origine: Sferniza
Rang: Capitaine du Troène

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MessageSujet: Celiwyr, capitaine du Troène   Celiwyr, capitaine du Troène Icon_minitimeLun 28 Oct - 18:08


Celiwyr Lelird

« Sous le doux miel se cachent de cruels poisons. »
SURNOM : L'empoisonneur
ÂGE : 27 ans
ARCHIPEL : Sferniza
ORIENTATION SEXUELLE : ...
GROUPE : Pirate
RANG : Capitaine du Troène
PARTICULARITÉS : Il ne me semble pas en avoir... Ah, si. Je me bat avec un sabre. Empoisonné, bien sûr.

RANG PERSONNALISÉ : Embrasse-moi...
PSEUDO/PRÉNOM : Crimi - Marie
ÂGE : 20 ans ~
SEXE : Femelle 8D
FEAT AVATAR : D'où vient ton avatar ? (lien si possible)
COMMENT T'ES-TU RETROUVÉ ICI : Je suis l'une des fondatrices.
CODES DU RÈGLEMENT : Validé ~

UN AVIS, UN DERNIER MOT : Squee ~ ♥

Description Morale

Il y a de nombreuses choses... Incompréhensibles. Et dans celles-ci, la trahison d'un ami obtient une haute place dans le classement.
Ismaël...
Je poussai un soupir, ayant difficilement parvenu à rejoindre mon vaisseau, à présent quasiment.. vide. Seuls restaient les deux hommes qui surveillait le navire. Le reste de mon équipage.. avait été mis sous fer, et sans doute pendu sous peu.
Je serrai les poings et poussa un cri de rage, allant m'enfermer dans ma cabine après les avoir informé de la situation. Nous étions seuls, à présent... Et j'étais plus perdu que jamais. Je venais de me faire trahir par l'un des hommes que j'appréciai le plus. Je venais de perdre un repère important.. Et je me perdais peu à peu.
Dans la rage, la colère, l'incompréhension.. Et une forme de tristesse. Je me laisse très facilement submergé par mes émotions lorsque quelque chose va très mal, après tout... Et là... Là...
Je ne comprenais décidément pas ce qui avait poussé mon second à prévenir les gardes. Grondant de rage en y repensant, je m'assit sur mon fauteuil, tremblant légèrement.
Perdu. J'étais complètement perdu. Ne pourrai-je donc jamais accorder toute ma confiance à quelqu'un..? Déjà que j'étais de base quelqu'un d'assez méfiant, depuis... Eraes.
Oh, je pouvais paraître enjoué, rieur... Et je l'étais, bien sûr. Mes hommes m'apprécient pour ce que je suis. Et je m'entends facilement et rapidement avec les autres. Mais de là à les considérer comme des amis.. Non, il me faut énormément de temps pour cela. Et je détestai royalement me faire avoir ainsi. Voir ma confiance réduite en poussière. Voir ce à quoi je tenais m'échapper à nouveau.

Oh, Il verra ce qu'il en coûte de me faire une telle chose. Car je suis quelqu'un de rancunier. Je le pourchasserai et trouverai un moyen de lui faire ravaler cette trahison.  Cette trahison que je déteste par-dessus tout.
Je me relèverai. Je me relevais toujours. Plus puissant que jamais... Mais aussi plus détruit. Mais cela, je prenais garde à ne pas le montrer. Mes sentiments les plus profonds, mes peurs, mes pleurs, je les gardais pour moi. Je laisse avant tout percevoir une façade, pour ne pas risquer de me faire du mal de nouveau... Mais il semblerait que cela n'ait pas suffit, cette fois.
Qu'à cela ne tienne, je ne changerai pas. Je ne vais pas commencer à montrer que je suis quelqu'un de sensible, de doux et de romantique. Non. Cela, je le garderai pour moi. A jamais.


Prends garde à toi, Ismaël.
Car ma rancœur, ma colère et la tristesse de cette trahison finira par m'aider à te retrouver. Et ce jour-là...
Ta vie passera entre mes doigts. Mes lèvres se poseront sur les tiennes, et je t'arracherai ta vie et ton dernier souffle.
Et je sais d'avance que j'adorerai ça.

Description Physique

Je poussai un long soupir et m'étirai, m'employant, une fois la porte de la salle de bain de l'auberge refermée, à retirer le kimono rouge et noir, couvert de motifs plus ou moins recherchés que je portais. Je le déposai sur un tabouret avant de me diriger vers la bassine remplie d'eau chaude, un léger sourire apparaissant sur mes lèvres fines.
Me prélasser dans un bon bain allait me faire du bien, après ce dernier mois à voguer sans réellement s'arrêter... Je rentrai donc dans la baignoire en poussant un soupir de plaisir, avant de m'arrêter lorsque mon regard émeraude tomba sur un miroir.

Je pris quelques instants pour me détailler en silence. Mon visage fin, mon petit nez... Et mon regard vert. Initialement plein de vie, est aujourd'hui fatigué par le voyage.
Je secouai la tête pour me reprendre, puis m'assis finalement dans l'eau en souriant, passant mes doigts mouillés dans mes cheveux châtain aux reflets dorés. Courts devant, pour ne pas me gêner, même si ma frange m'arrivait parfois devant les yeux, et inégalement longs derrière, s'arrêtant, pour certaines mèches, à mes épaules, et d'autres tombant jusqu'au au creux de mes omoplates.

Je finis par prendre un petit seau pour me les mouiller entièrement, avant de me détendre en fermant les yeux. Je restai de longues minutes ainsi, avant que mes doigts fins ne sortent de l'eau pour prendre le savon, alors que je me levai pour me laver convenablement. Mes doigts pleins de mousse passaient rapidement sur ma peau claire, sans s'arrêter sur les quelques cicatrices qui parcouraient mon corps, à peine visible. Je passai un long moment à me masser, appréciant de sentir mes muscles se détendre. Car même si je peux paraître assez fin, je n'en suis pas moins assez musclé. Assez pour maintenir l'ordre sur mon navire, et me battre au sabre, du moins.

Et puis, je ne suis pas spécialement grand, sans être petit non plus, je mise donc sur une certaine agilité au combat, et me fait peu souvent touché... La plupart du temps, mes assaillants meurent rapidement de la moindre estafilade donnée par l'une de nos armes...
Enfin, là n'est pas la question, J'étais ici pour me détendre... Terminant de me laver, je me rassit dans la bassine, fermant les yeux et profitant simplement de ce moment.

Demain, je reprendrai la route. Un navire marchand part du port sous peu... Nous le suivrons, et l'aborderons...

Histoire

Mon histoire ? Qu'est-ce que cela t'apporterai d'en apprendre plus sur moi..? Et bien... Soit, je suis de bonne humeur, alors écoute bien, car je ne le répéterai pas deux fois.

Je suis né à Rhapmir, sur Sferniza. Mon père était un bourgeois, mais d'une classe assez haute... Et ma mère était la femme qu'il aimait. C'est beau, n'est-ce pas ? ça l'aurait été bien plus s'ils avaient été marié. Mais non, je suis un bâtard. Mon père était marié à une autre femme. Mais malgré cela... chaque mois, il donnait un peu d'argent à ma mère. Il prenait de mes nouvelles, et il lui arrivait même de m'offrir quelques cadeaux.
Nous n'avions pas un très haut niveau de vie. Mais nous n'étions pas dans le besoin non plus. Mon père s'occupait de nous. Un père absent, donc je ne connaissait l'existence que par les paroles de ma mère, ou cette figure floue qui venait de rendre visite lorsque j'étais petit.

Ses visites se sont peu à peu espacées avec le temps. Il semblerait que sa femme se doutait qu'il avait une amante, et cela ne lui plaisait pas. Mais malgré cela, chaque mois, ma mère mettait près de 2 pièces d'or de côté pour mon avenir. Une bien belle somme, après quelques années...
Je vécu assez paisiblement, durant une grande partie de mon enfance... Jusqu'à ce que je le rencontre.

Il était plus âgé que moi. Un jeune homme de 20 ans, alors que j'en avais 13. Nous habitions assez proches, l'un de l'autre. Il était peintre, et tenait un atelier de peinture avec deux de ses amis. Ma mère avait accepté que je participe à certains de ses cours, et je me suis prit d'amitié avec lui.

Eraes.

C'était son prénom. Un prénom que j'apprécie toujours autant, même aujourd'hui...
A mes quatorze ans.. Cela faisait un an que nous nous connaissions. Et il m'a proposé de poser comme modèle pour certaines de ses oeuvres. D'abord habillé, puis nu, pour l'entraîner à l'anatomie. J'étais heureux de lui faire plaisir, de l'aider à s'améliorer. Sa présence, son rire, ses mots, ses gestes.. Amenaient en moi un sentiment de bonheur que je n'avait jamais connu jusqu'alors. Un bonheur... que je me surpris à nommer "amour", quelques mois plus tard. Alors que je commençais à peine à devenir un homme.
J'ai mis près d'un an à me décider à lui avouer que je l'aimais. Et mon bonheur fut immense lorsqu'il m'avoua m'aimer aussi, lors de mon anniversaire, lorsque je venais d'avoir 15 ans. Ce fut aussi ma première fois. J'étais jeune, certes. Mais lui était doué. Et j'y ai prit un plaisir fou. Tellement fou que je me suis pressé de lui en redemander lorsque nous nous voyons dans sa petite maison, après les cours de peinture.

Cela a duré deux mois. Deux mois de pur bonheur. J'étais heureux, épanoui... Je l'aimais, et il m'aimait. Du moins, c'était ce que je croyais.
Il a fini, un soir, par ramener avec lui un homme, l'un de ses amis, que je ne connaissais pas. Il m'a proposé de se faire plaisir à trois... J'ai accepté. Après tout, cela lui faisait plaisir, et ce genre de choses était agréable, alors...

Au fur et à mesure, nous avons recommencé. Jusqu'à ce qu'il m'abandonne complètement entre les bras d'un autre. qu'il ne participe plus à nos ébats. Oh, bien sûr, nous couchions ensemble à côté de cela. Sans doute ne voulait-il pas montrer qu'il ne m'aimait pas. Qu'il profitait de moi... Et cela ne faisait que commencer.
Au fur et à mesure, les personnes passant dans ma couche se diversifiaient, sans que je ne me rende réellement compte de ce qu'il se passait. Pour moi, c'était des amis de Eraes, rien de plus. Mais... un soir, je me suis levé pour aller voir ce qu'ils faisaient dans la pièce à côté, après m'être passé dessus. Et.. voir la bourse passer d'une main à l'autre, voir celui que j'aimais compter consciencieusement les pièces, avant d'hocher silencieusement la tête en rangeant l'argent... Argent dont je n'avais jamais vu la couleur jusqu'à présent. Il.. me vendait.

J'ai été.. détruit par cette découverte. Mais je pensais pouvoir réussir à vivre avec lui, à l'aimer... Mais.. cela faisait à présent de nombreux mois qu'il ne m'avait même plus dit un seul "Je t'aime".. Même lorsque nous étions seuls. Même lorsque nous couchions ensembles.
Ou plutôt, qu'il m'apprenait de nouvelles façon de contenter ses clients.

Alors peu à peu... je me suis détaché de lui. Je l'aimais follement. Et cela me détruisait. Une dispute finie par éclater entre nous. Mais j'étais trop faible, trop amoureux, pour lui résister lorsqu'il me supplia de ne pas le laisser. Alors je suis resté à ses côtés. Durant quelques semaines, je pensais que nous nous étions entendu. Que je n'aurai plus à coucher avec d'autres. Mais cela reprit facilement.

A côté de cela... Ma mère m'avait recommandé à un herboriste de valeur. Et l'avait payé assez grassement pour faire de moi son élève. Je suivais les cours assidûment, et cette science me plaisait énormément. Même si peu à peu...
Je fut de plus en plus intéressé par les poisons. Je laissais les soins de côté pour me concentrer sur les poisons. Sur les différents effets des plantes. Comment les utiliser, de façon visible... ou totalement invisible.

Et à mes 17 ans... J'ai empoisonné un homme pour la première fois. L'un des.. clients de Eraes. Par... erreur, dirons-nous. Ce soir là, il m'a embrassé de force. Un long baiser, de ceux que je détestais le plus. J'ai soudain senti un goût âcre sur ma langue, alors qu'elle valsait avec celle de l'homme.
En sentant ce goût étrange, il a rompu le baiser, mais il était trop tard. Le poison faisait effet. Le poison oui. Ma salive peut revêtir des propriétés étonnantes... Et je l'avais découvert par erreur.
Le voir ainsi mourir dans mes bras, voir son corps se convulser, la bave aux lèvres... Le voir tenter de crier, et essayer de prendre la dague accroché à ses vêtements, sur le sol, sans doute pour tenter de m'amener moi aussi dans la mort...

Le bruit rameuta rapidement Eraes. Et cela... a absolument horrifié mon amant. Mais pour moi, c'était jouissif. J'étais capable de tuer par mes baisers. Je détestais ce que ces hommes me faisaient subir, à présent. Plus le temps passait, et plus mon amour pour Eraes, ma gentillesse, ma tendance à me laisser faire pour lui faire plaisir... S'étaient changés en une sorte de haine. Et j'étais heureux de lui faire ainsi peur.
Il m'a pour ainsi dire.. foutu dehors ce soir-là. Mais j'étais heureux. J'étais.. libre.

Du moins, c'était ce que je pensais.
Je me suis rapidement rendu compte que même si.. je le détestais de s'être joué de moi.. Je l'aimais encore. Et je ne pourrai sans doute jamais effacer complètement cet amour. Il m'arrivait encore de le croiser dans les rues, de loin. Jamais je ne m'approchais, cela me faisais bien trop mal. Et lui... aurait très certainement fuit en me voyant.
Je ne sais pas comment il a fait pour se débarrasser du corps. Mais en tout cas, j'ai eu de la chance... Il avait sans doute peur que je lui réserve le même sort, s'il me dénonçait.

Mais rester ainsi à Rhapmir, alors que je risquai de le voir... Je n'arrivais pas à l'oublier. Alors je suis parti. J'ai prit mes affaires, salué ma mère, et j'ai pris le chemin des docks.
Il a été assez difficile de trouver un capitaine assez souple pour me prendre dans son équipage. Bien sûr, j'ai d'abord essayé chez les marchands, les corsaires... Sans succès.
C'est lorsque je suis allé à l'auberge, en fin de journée, -car je ne voulais pas revenir aussi vite chez ma mère... Cela aurait été comme avouer un échec- que j'ai découvert un équipage de pirates. Ils recherchaient des membres d'équipages, après une bataille semblerait.
En désespoir de cause... Je me suis présenté. Je ne sais pas vraiment ce qui a poussé le capitaine à m'accepter. Mais c'est ce qu'il a fait. Et le lendemain, je levais l'ancre avec eux.

Le temps passa assez lentement, mais peu à peu, au bout de plusieurs années, un certain mécontentement montait doucement dans l'équipage. Le capitaine... gardait bien trop de choses pour lui. Il pouvait être normal qu'il gagne une plus grosse partie de nos butins... Mais pas qu'il se réserve le bon rhum pour lui, et ne nous laisse que ce qui avait de plus bas de gamme et de moins cher pour nous.
Je me suis alors décidé. J'ai peu à peu prit la tête d'une future mutinerie... Aidé par l'un des autres membres de l'équipage. Un jeune homme, Ismaël, avec qui je m'entendais assez bien.
Puis, l'année de mes 25 ans, nous sommes passés à l'action. Il me fut facile d'empoisonner légèrement le vin du capitaine. Méthode de lâche, me direz-vous. Et bien, ce n'est pas ce que pensais l'équipage. Car c'était sans doute l'une des meilleures façons de se débarrasser de lui sans risquer de perdre une vie. Cette nuit-là, je me suis glissé dans sa cabine. Il était malade, bien sûr. Et j'étais l'herboriste du vaisseau. Mais au lieu de le soigner... Je pris grand plaisir à lui enfoncer ma dague dans la poitrine. A le voir ainsi mourir.
Je lui tranchai ensuite la tête en souriant, avant de sortir sur le pont, l'équipage réunis, les mutins, mais aussi ceux qui étaient restés du côté du capitaine. Enfin... De l'ancien capitaine. Car c'est sa tête qui roula à leurs pieds, alors qu'un clameur s'élevait sur le navire.
C'est ainsi que je devins capitaine... et que je fis d'Ismaël mon second. Ismaël, celui qui m'avait tant aidé à réunir sous mon ordre les pirates de notre ancien capitaine...

Mais ce bateau ne me convenait pas. Alors que je répartissais la part de butin aux membres de l'équipage, je réfléchissais à notre prochaine destination.
Sferniza.
Une fois au port, je leur laissa quartier libre pour aller voir ma mère. Elle fut heureuse de me voir, bien sûr... Même si mes exploits ne lui faisaient pas forcément plaisir, elle était heureuse que son fils ai trouvé la voie qui lui plaisait.
Elle me donna l'argent que mon père donnait pour moi. Une bien belle somme qui, agrémenté de ma propre bourse, me permit de m'acheter mon propre bateau. Je laissa l'autre aux membres qui ne souhaitaient pas nous suivre. qu'ils partent, je n'allais pas les tuer, non. Qu'ils partent, et répandent partout la nouvelle, qu'un nouveau bateau pirate voguerait à présent sur les cieux.
Je nommai mon navire Troène, en souvenir d'une plante que j'appréciai beaucoup. Empoisonnée, bien entendue.

Et je me remis à voguer après avoir reformé un équipage complet.
Mais... je ne pouvais imaginer ce qui allait se passer. Comment.. aurais-je pu imaginer que mon propre second, qu'Ismaël lui-même, m'abandonnerai pour retourner sa veste, à peine 3 ans après la mort de notre ancien capitaine ?
Oh, je me suis juré, ce jour-là, de lui faire la peau et de le tuer à petit feu, lorsque je le retrouverai.
J'espère de tout cœur que sa route croisera celle du Troène. Car cela signera très certainement son arrêt de mort.

En attendant, je sillonne les cieux, et mon titre commence à être connu sur les îles, les marchands et petits vaisseaux redoutant mes attaques au même titre que les pirates plus vieux et expérimentés que moi.
L'empoisonneur.

Pouvoirs

Pouvoir primaire : Terre

je suis capable d'enfermer quelqu'un dans une forme de sarcophage de terre, entourant son corps de façon à ce qu'il ne puisse s'en échapper. Cela peut me servir à soutirer des informations à cette personne, la terre répondant à mon seul appel, je suis le seul à pouvoir passer outre cette prison.
Malheureusement, cela me demande énormément d'énergie et de concentration et je ne peux le faire que sur une seule personne à la fois, hélas...

Pouvoir secondaire : Poison

Je suis capable, lorsque je le désire, de donner des baisers empoisonnés. Ma salive peut se révéler être un véritable poison pour celui qui l'avale, entraînant la mort d'une façon assez rapide. D'une petite heure à plusieurs, si je veux que la souffrance de celui que j'embrasse soit longue.  Bien sûr, ce n'est pas sans contrepartie, et je cela me fatigue énormément, car créer ce poison demande énormément à mon corps. De même, je ne peux pas le faire aussi souvent que je le veux. Il faut que j'attende quelques jours avant de pouvoir à nouveau empoisonner ma salive.
Crédit fiche : Celiwyr, Sephyrias


Dernière édition par Celiwyr Lelird le Lun 12 Jan - 23:35, édité 4 fois
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Messages : 171

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MessageSujet: Re: Celiwyr, capitaine du Troène   Celiwyr, capitaine du Troène Icon_minitimeVen 8 Nov - 14:51

Salut à toi, et bienvenue sous ces cieux ~

Il n'y a bien entendu aucun problème dans ta fiche, aussi agréable à lire que ton personnage est intéressant.

Tu as donc notre approbation pour prendre ton envol, à la rencontre de ton destin.

Que les Vents te soient favorables ~
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Celiwyr, capitaine du Troène

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